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Nostradamus : Prédictions et prophéties sur les vaccins

Nostradamus et les prédictions sur les vaccins

Lorsque nous explorons les écrits de Nostradamus, alias Michel de Nostredame, il est impératif de se rappeler que ses prophéties ont souvent été interprétées de manière diverse. Cependant, il est intéressant de noter certains passages spécifiques qui semblent évoquer des pratiques médicales ou des événements sanitaires notables, pouvant être liés à des concepts modernes comme les vaccins.

Les visions de l’avenir médical

Dans ses célèbres « Centuries », Nostradamus aborde à de nombreuses reprises des thèmes de maladie et de guérison. Une référence potentiellement applicable aux vaccins est trouvée dans la Centurie IX, Quatrain 87, où il écrit :

En lieu de bien, enseveli le grand mésillant,
Près du grand fleuve au milieu de la terre,
Suspect sera, un peu avant sinon loingst,
Le soleil se meut, terre changée en fer.

L’interprétation de ce texte peut laisser penser à un bouleversement scientifique ou médical. Le terme « grande terre » pourrait symboliser des continents ou des populations variées, ce qui pourrait être une allusion à un changement mondial, tel que la diffusion des vaccins. Le grand fleuve pourrait symboliser la diffusion de nouvelles connaissances et de techniques.

L’inoculation et la prévention

Un autre passage intrigant est trouvé dans la Centurie V, Quatrain 65 :

Vers Aquilon grands efforts par hommasse,
Presque gaules l’un contre l’autre,
Arabe grand à force indignation.
Croix, paix rompue, paix sus terres chassée.

Ici, la mention de « grands efforts par hommasse » peut être comprise comme une référence à des efforts massifs de la part de l’humanité pour lutter contre des fléaux. Cela pourrait être vu comme une allusion aux campagnes de vaccination modernes, où de grands efforts collectifs sont faits pour immuniser les populations contre des maladies dévastatrices. Le contexte de lutte (« l’un contre l’autre ») peut être interprété comme la bataille contre les maladies infectieuses.

Les prophéties sur l’immunité collective

La quête de Nostradamus pour comprendre et prédire l’avenir ne se limitait pas à des événements isolés ; il explorait également des concepts plus abstraits tels que l’immunité collective. Dans la Centurie I, Quatrain 25, il mentionne:

Perdu, trouvé, caché de si long âge,
Sera Pasteur demi-dieu honoré :
Ains que la Lune acheve son grand cicle,
Par autres vents sera deshonnoré.

La figure de « Pasteur » ici est particulièrement intéressante. Certains interprètes ont assimilé ce « Pasteur » au célèbre Louis Pasteur, qui a contribué de manière significative aux vaccins et à la théorie des germes. L’idée de quelque chose de « caché de si long âge » pouvant être vu comme une allusion à des remèdes ou connaissances anciennes (telles que les bases de l’immunisation) retrouvées et réactualisées.

Les implications morales et éthiques

Nostradamus ne se contentait pas de prédire des événements concrets; il envisageait également les implications morales et éthiques de ces événements. La Centurie II, Quatrain 6, énonce :

Sur le midi serre presse bien grande,
De sang spilt quelque coup de conflit :
Ostch de la mer au port sera, semblable,
Aussi proche, allé ainc ou mort.

Cette prophétie peut être perçue comme une contemplation des dilemmes inhérents aux progrès médicaux, tels que les vaccins. « Sang spilt » pourrait être considéré comme des sacrifices ou des risques associés aux campagnes vaccinales, nécessaires pour le bien commun mais non sans controverses et défis éthiques.

Les anticipations des pandémies

Enfin, dans la Centurie VIII, Quatrain 56, Nostradamus semble parler d’une pandémie mondiale, qui pousse l’humanité à trouver des solutions :

La palais de l’âme ceindré spira,
Sol neuf, mentie, pour le seigneur et prince
Peu de loy, largement iriser,
Que puis plongiez guerre Jupiter enffantera. »

Le terme « palais de l’âme » peut évoquer la quête de protection du corps humain contre les maladies. « Sol neuf » représente peut-être l’émergence de nouvelles solutions, comme les vaccins, pour répondre aux pandémies (« largement iriser »).

À travers ces extraits, il est possible de percevoir des références qui, malgré leur langue cryptique et poétique, laissent entrevoir une certaine prémonition des concepts liés aux vaccins et aux pratiques médicales modernes.