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Les prophéties de Nostradamus sur les nouvelles formes de vie

les prophéties de Nostradamus sur les nouvelles formes de vie

les créatures marines mythiques

L’érudit Nostradamus mentionne souvent la mer et ses profondeurs mystérieuses. Dans le livre III, quatrain 94, il écrit :

« Mer passera, bien à son comble,
De gens et poissons, sans que l’eau vienne a haulte. »

Ce quatrain évoque une image où les créatures marines émergent en nombre, et même les poissons seront «sans que l’eau vienne à haulte», suggérant peut-être une mutation ou une adaptation des formes marines à la vie terrestre. Cette prophétie pourrait être interprétée comme faisant allusion à l’émergence de nouvelles formes de vie amphibies ou à une transformation des espèces marines, ouvrant la porte à des spéculations sur les mutations ou adaptations futures en réponse aux changements climatiques ou environnementaux.

les hybrides entre homme et animal

Nostradamus semble également préoccupé par les hybrides entre humains et animaux. Dans ses Centuries, il décrit des visions troublantes de créatures mi-homme, mi-bête. Par exemple, dans le livre IX, quatrain 36, il écrivit :

« De sang humain, laissez la vie brute,
Plus grand par le mal, l’orenge demonique. »

L’usage de termes comme « laisse la vie brute » pourrait être interprété comme une référence à des êtres hybrides rappelant de nombreux mythes et légendes archaïques, telles que les centaures et les minotaures. Ces entités pourraient symboliser une fusion des attributs humains et animaux, créant des créatures capables de nouvelles impulsions naturelles et d’instincts exacerbés par les évolutions scientifiques, voire génétiques.

les nouvelles créatures aériennes

Nostradamus a aussi évoqué des créatures des cieux. Dans le livre V, quatrain 16, il parle de visions célestes :

« Du goulphre sortira noye de mes chambre,
Subiugera marin, voudra province,
Omyt volera, ignare vaincre plombe,
Plus de calmes d’une hyerne a la haulse vie. »

Ici, les références aux « omyt » et au vol peuvent être vues comme la description de créatures aériennes non identifiées. Ces entités célestes, volant et envahissant les terres, peuvent symboliser de futurs développements d’espèces ou techniques volantes encore inconnues de notre époque.

l’évolution humaine vers une nouvelle forme de vie

Un autre aspect fascinant des prophéties de Nostradamus concerne l’évolution humaine. Dans plusieurs quatrains, il semble prévoir une transformation de l’humanité. Dans le livre I, quatrain 48, il écrit :

« Vingt ans du règne de la Lune passés,
Sept mille ans autre tiendra sa monarchie,
Quand le Soleil prendra ses jours lassés,
Lors accomplir et mine ma prophétie. »

Ces lignes pourraient être interprétées comme une indication de la fin d’une ère humaine et le début d’une autre. La référence aux « sept mille ans » pourrait symboliser une nouvelle phase de l’évolution humaine, où les caractéristiques et la nature de l’homme changeraient de manière radicale. La mention de « Lune » et « Soleil » renforce l’idée de changements astronomiques ou cosmiques influençant l’évolution de la vie humaine sur Terre.

les créatures de l’espace

Les prédictions de Nostradamus incluent également des indices sur des formes de vie extraterrestres. Dans le livre II, quatrain 75, il écrit :

« Longtemps sera sans être habité par certain temps,
Où barbare Vulcan et sa loy,
Puis le grand roi Martin fera résidence,
Dans la cité éclatante et dont l’histoire romaine. »

La mention de lieux « sans être habité » et de créatures venant des régions célestes laisse supposer des contacts futurs avec des formes de vie venant de l’espace. Le terme « barbare Vulcan » pourrait désigner une entité ou une forme de vie ne suivant pas les lois terrestres, et « cité éclatante » pourrait faire référence à des habitats extraterrestres ou stations spatiales.

les insectes géants

Dans le livre VI, quatrain 97, Nostradamus parle également de créatures insectoïdes :

« Les dieux feront aux humains apparence
Ce qu’ils seront auteurs de grand conflit,
Avant ciel vu serain, épée et lance,
Que vers le midi chauferont grand bonifit. »

Les « humains » et les « dieux » peuvent symboliser l’apparition d’insectes géants, résultat potentiel de mutations environnementales. « Épée et lance » représentent ici peut-être leurs attributs ou outils naturels, soulignant la menace ou la concurrence qu’ils pourraient représenter pour l’humanité.

Ces interprétations des prophéties de Nostradamus offrent un regard captivant sur les nouvelles formes de vie que ses quatrains laissent entrevoir. Avec une fervente passion pour l’occultisme, nous pouvons explorer ces textes anciennement énigmatiques pour comprendre de potentielles évolutions de notre propre existence et de l’univers dans son ensemble.